Let’s chat
Well, that lesson was a great one. We talked, and chatted, and babbled. Then we talked some more. I know L., whom you will remember from the previous post, was happy with that! This particular lesson, however, got me thinking about the various occasions French learners have to actually converse in French on a regular basis. While some will be lucky to know a native speaker, thus having regular practice opportunities, this will not be the case for everyone.
Many learners will not have any occasions to practise the art of conversation in a foreign language, and I have to admit that it is a bit of a problem. There are of course people who offer just that, either freely or for a fee. I imagine that it is a huge market, into which I have barely dipped my toes.
I am a one man band, and although I pride myself on the tailor-made nature of everything I present to my students, I cannot afford to offer my services as a conversationalist for free. True, I am more than happy to help people on social media, through my words and phrases of the day on Instagram, for example. I also love to connect with new people on Twitter, and help them there, answering their questions and correcting their mistakes, after they have given me permission to do so, of course!
What I would really love to do is meet local people, who are looking to improve their French, and get them all together to form a conversation class. Now, that would be quite fun, don’t you think? Especially if we could find a great location to meet up, have afternoon tea, or lunch, or dinner, or just drinks. If only there was a cool pub nearby who could host such a group. Oh, wait …
ON CAUSE?
Bon, ben, ça a été une bonne leçon. On a parlé, on a bavardé, et on a causé. Et puis on a encore parlé. Je sais que L., que vous avez rencontrée dans le dernier blog, en était bien contente! Cette leçon en particulier, cependant, m’a fait penser aux diverses occasions qu’ont ceux qui apprennent le français de converser de façon régulière. Alors que certains auront la chance de connaître un(e) Français(e) pur(e) beurre, leur donnant la possibilité de parler français régulièrement, ça ne sera pas le cas pour tout le monde.
Beaucoup d’étudiants n’auront aucune occasion de pratiquer l’art de la conversation dans une langue étrangère, et je dois bien admettre que c’est un problème. Il y a bien sûr des gens qui proposent ce service, gratuitement ou contre paiement. J’imagine que c’est un énorme marché, dans lequel je n’ai fait que tremper le gros orteil.
Je suis un homme-orchestre, et bien que je me flatte de la nature personnalisée de tout ce que je présente à mes élèves, je ne peux pas me permettre de donner mes talents sans rien en échange. Il est néanmoins vrai que j’adore aider les gens sur les médias sociaux, à travers mes mots et expressions du jour sur Instagram, par exemple. J’adore aussi rentrer en contact avec de nouveaux amis sur Twitter, et les y aider en répondant à leurs questions et en corrigeant leurs erreurs, après qu’ils m’en aient donné la permission, bien sûr!
Ce que j’adorerais vraiment faire, c’est rencontrer un groupe de gens locaux, qui cherchent à améliorer leur français, et de les réunir pour former un groupe de conversation. Ça ne serait pas cool, ça? Surtout si nous avions un super endroit pour nous retrouver, prendre le thé, ou déjeuner, ou dîner, ou simplement boire un verre. Si seulement il y avait un pub sympa dans les parages, qui pourrait héberger un tel groupe. Oh, mais en fait …