21 Jul

A pudding too far?

I love black pudding, and have done so for a very long time. However, I suspect it is one of those things that everybody either adore or loathe. I know plenty of people for whom the idea of a sausage made with congealed blood is enough to turn their stomach. I can almost understand that, when it is put like this, but honestly, what is not to like? For black pudding is one of the few things I rate equally on both sides of the Channel. Whether I appreciate some with my breakfast here in Britain or as a main course with caramelised apples with my dear Mama, I don’t really mind!

I readily agree that the method of preparation could be enough to make your blood run cold (quite literally!), but I also believe that you have to go past that and try it if you have never done so. Black pudding has a very interesting texture, silky smooth in France, where no ‘bits’ are added, or ‘with bits’ in most of Britain. When I eat it depends on where I am, but one thing is certain, I enjoy it every time.

Now, don’t think that I am a paid member of the Black Pudding Appreciation Society, far from it, but I do believe that you need to sing the praises of good produce, especially local ones. I don’t want to eat it everyday, but for a special occasion, there is really nothing as good as black pudding, especially with the rest of a good breakfast. That’s an English breakfast, as you know if you are an avid reader of this blog!

UN BOUDIN DE TROP?

J’adore le boudin noir, et ça fait un bout de temps que ça dure. Cela dit, je me doute que c’est un de ces trucs que tout le monde adore ou déteste. Je connais pas mal de monde pour qui l’idée d’une saucisse faite avec du sang caillé est suffisante à les rendre malades. Je peux presque les comprendre, quand on le dit comme ça, mais franchement, qu’y a-t-il à ne pas aimer? Car le boudin noir est une des rares choses que j’apprécie également des deux côtés de la Manche. Que je le déguste au petit-déjeuner en Grande-Bretagne ou avec des pommes caramélisées pour le dîner chez ma chère Maman, peu importe!

Je concède volontiers que la méthode de préparation peut être suffisante à vous faire cailler le sang (au sens littéral du terme!), mais je crois aussi qu’il vous faut contourner cet obstacle et y goûter, si vous ne l’avez jamais fait. Le boudin noir a une texture très intéressante, douce comme la soie en France, où il n’y a pas de ‘morceaux’ ajoutés, ou plus grossière, comme dans la plupart de la Grande-Bretagne. L’heure à laquelle je le mange depend d’où je suis, mais une chose est sûre, c’est que je me régale à chaque fois.

Mais bon, ne croyez pas que je sois membre payant de la Société d’Appréciation du Boudin Noir, loin de là, mais je crois fermement qu’on a besoin de chanter les louanges des bons produits, surtout s’ils sont locaux. Je ne veux pas en manger tous les jours, mais pour une occasion spéciale, il n’y a rien de meilleur que le boudin noir, surtout avec le reste d’un bon petit-déjeuner. Et je vous parle d’un petit-déjeuner à l’anglaise, comme vous le savez si vous êtes avides lecteurs de ce blog!