06 Nov

UN FEU DE JOIE

Et ben, ça a été une belle semaine! Mais nous y voilà: un autre mardi, un autre article pour vous, chers amis et lecteurs. Et vous ne saurez jamais à quel point je vous suis reconnaissant de lire et répondre aux petites tranches de vie que j’essaye de vous servir toutes les semaines.

A bonfire.   Well, it’s been quite a week! But here we are: another Tuesday, another post for you, dear friends and readers. And you will never know how grateful I am to you all for reading and responding to the little slices of life that I try to serve you every week.

Pour des raisons auxquelles je ne ferai pas allusion ici, cette semaine à été frénétique, et mes leçons m’ont beaucoup aidé à garder un semblant de normalité quand tout a comploté pour m’empêcher de vous fournir mes offrandes habituelles. J’espère que vous m’aurez pardonné les dates-limites que j’ai manquées et aurez apprécié celles d’aujourd’hui!

For reasons I do not want to get into here, this week has been a busy one, and my lessons have gone a long way to help me maintain a semblance of normality when events conspired to prevent me from supplying you with my usual offerings. I hope you will have forgiven me for all the missed deadlines and have enjoyed today’s!

L’autre évènement de la semaine qui m’a fait sourire était le feu de joie dimanche à Hambleden. Nous voilà à cette époque de l’année encore une fois, et je dois dire que les amis, un gobelet de vin chaud, un feu de joie et une belle explosion de feux d’artifice m’ont aidé à me sentir bien mieux. Pour ceux d’entre vous qui ne sont pas au fait avec les origines de cette tradition britannique, il suffit de dire que tous les ans, depuis 1605, on allume des feux de joie comme acte d’action de grâce pour célébrer le fait que le roi James I et le Parlement n’ont pas fait boum.

The other thing this week that brought a smile to my face was Sunday night’s bonfire up in Hambleden. It is this time of the year again, and I have to say that friends, a beaker of mulled wine, a bonfire and a fine fireworks display made me feel great. For those of you who are a bit hazy on the origins of this fine British tradition, suffice to say that every year, since 1605, bonfires are lit as an act of thanksgiving to celebrate King James I and the Houses of Parliament not getting blown up.

Mais vraiment, c’est une super excuse pour se rencontrer, se réchauffer autour d’un feu par une soirée fraîche en novembre et apprécier les bruits et les jolies couleurs, pendant que l’on peut encore le faire. Je vais vous dire, les gens: perso, je n’ai pas hâte de l’arrivée des feux d’artifice silencieux… Et dimanche dernier, j’ai fait oooh et aaah tout à côté de braves toutous qui n’avaient pas l’air d’être ennuyés du tout par le bruit! Peut-être que la délicieuse odeur des hot-dogs y était pour quelque chose…

But really, it’s a jolly good excuse to meet up, get warm around a fire on a cold November evening and enjoy the loud bangs and pretty colours, while we still can. I’ll tell you what, people: I, for one, am not looking forward to silent fireworks… And last Sunday, I ooohed and aaahed right alongside some very brave pooches who didn’t seem to mind the noise at all! Maybe the wonderful smell of the hot-dogs had something to do with it…

Alors si vous voulez vous joindre à moi l’année prochaine pour un verre de quelque chose de bien chaud à côté de quelque chose d’encore plus chaud (et je ne parle pas de moi), donnez-moi un coup de fil, et on arrangera ça!

So if you want to join me next year for a glass of something hot near something even hotter (and I’m not talking about me), give me a bell, and we’ll arrange something!